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05 / 09 / 2016 | 5 vues
Anais Jaouen / Membre
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Ciprés Assurances fait le pari d’une offre mixte responsable/non responsable

Depuis maintenant plus d’un an, les contrats de complémentaire de santé sont soumis à un plafonnement des remboursements des soins prodigués par les médecins non signataires du contrat d’accès aux soins (CAS).

Aujourd’hui, seuls 11 000 médecins en France [1] sur plus de 281 000 [2] sont signataires du contrat d’accès aux soins. Ainsi, du fait de l’augmentation des dépassements d’honoraires, les Français sont contraints à un reste à charge de plus en plus important. Cela est renforcé par le fait qu’ils n’ont pas toujours accès aux professionnels de santé signataires du CAS, notamment aux spécialistes (par exemple, seuls 10 % des ophtalmologistes et 15 % des chirurgiens de secteur 2 [3] sont signataire du CAS). Ainsi, 4 médecins sur 10 exerçant en secteur 2 en Île-de-France ne sont pas adhérents du CAS, soit plus du double de la moyenne nationale.

Cela implique pour les Français, qui n’ont pas toujours la possibilité de consulter un médecin signataire du CAS (en fonction de la spécialité médicale concernée ou de la localisation du patient), une augmentation de leur reste à charge.

Anticipant ce constat, Ciprés Assurances a créé il y a plusieurs mois pour les travailleurs non-salariés (TNS) l’unique gamme de solutions de santé leur permettant une totale liberté de choix de leur praticien, une couverture sociale optimisée et des remboursements avantageux, y compris pour les médecins non signataires du CAS.

« À ce jour, peu de médecins en France ont souscrit au contrat d’accès aux soins, ce qui pose de véritables enjeux pour garantir la liberté de choix d’un praticien d’une part, tout en veillant aux dépenses de santé d’autre part. Ainsi, nous avons développé une offre inédite avec des solutions mixtes responsables/non responsables garantissant une véritable couverture de santé et un reste à charge limité.

Par ailleurs, en tant que partenaire privilégié des entrepreneurs et travailleurs non-salariés, nous estimons qu’il est de notre devoir de proposer des solutions efficaces pour simplement faire face aux évolutions réglementaires en matière de santé », commente Arnaud Berjon, directeur général adjoint de Ciprés Assurances.

En faisant le pari d’une offre mixte responsable/non responsable, Ciprés Assurances propose aux TNS, sans hausse de tarif significative, une offre avec des garanties supérieures au panier de soins minimum, quel que soit le choix du médecin, tout en leur permettant de bénéficier de la fiscalité avantageuse associée aux contrats responsables (déduction fiscale des cotisations sur la déclaration de revenus, entre autres).

  • Optique : alors que 4 Français sur 10 estiment qu’il est difficile d’accéder aux équipements optiques [5], Ciprés Assurances propose aux TNS le choix d’un équipement optique renouvelable tous les ans.
  • Dentaire : l’offre couvre jusqu’à 570 % de la base de remboursement sur les prothèses dentaires et dispose d’un plafond de prise en charge allant jusqu’à 3 000 € par an.
  • La prise en charge de soins peu ou pas remboursés tels que les médecines douces, le sevrage tabagique, les tests de dépistage du cancer du sein, la pilule contraceptive…
  • Spécialistes : alors que 27 % des Français déclarent renoncer à des soins chez un spécialiste pour des raisons financières [6], Ciprés Assurances propose de meilleurs remboursements chez les praticiens non signataires du contrat d’accès aux soins.
  • Liberté de choix du médecin (signataire ou non du CAS) : avec l’offre mixte responsable/non responsable, Ciprés Assurances est le seul acteur à proposer des remboursements équivalents, quel que soit le médecin choisi.  

Cette offre mixte santé TNS est déductible (Madelin) à environ 90 à 95% du montant total.

[1] CSMF, septembre 2014.
[2] Conseil national de l’ordre des médecins, 2015.
[3] Les tarifs pratiqués par les médecins qui exercent en secteur 2 sont libres et fixés par le médecin, avec tact et mesure, en fonction des exigences de la caisse d'assurance maladie.
[4] Mercer, juin 2016.
[5] Enquête quantitative réalisée par la Mutualité Française du 26 au 29 octobre 2015.
[6] Baromètre santé 2016 de Deloitte.

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