Enquête pour harcèlement moral au CE de BP2S sur fond d'une médiation tardive
- Santé au travail parrainé par Groupe Technologia
Pas question que le suicide d'un salarié de l'AGPRO d'Orange France, intervenu le 17 janvier dernier dans une station de RER, débouche sur un autre drame. Une sévère lettre de mise en garde a été adressée le 24 février par l'inspection du travail à la directrice du site de l'AGPRO de Poncelet (Paris).
« À trente ans, Ben est sur le point d'épouser Juliette. Sa petite vie tranquille et sans danger va basculer lorsqu'il retombe sur la personne qu'il a secrètement le plus envie de revoir : Vanessa, la bombe du lycée qui ne l'avait jamais regardé. Elle est de retour à Paris et ne connaît, aujourd'hui, que lui… »
L’appel à la reconnaissance du « burn-out » comme maladie professionnelle lancé le 22 janvier dernier par le cabinet Technologia comptabilise déjà plus de 3 100 signatures, dont celles de FO et de la CFE-CGC.
Anne-Sylvie Grégoire, psychologue du travail, estime que travailler pour un employeur « est une position délicate qui nécessite d’avoir du métier » même si le code de déontologie des psychologues pose clairement la règle de confidentialité. Pour autant, « notre code déontologique n’a aucune valeur juridique. Nous sommes sans protection si l’employeur ou un salarié veut nous attaquer.
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