Le Conseil économique et social devient enfin environnemental
Le recyclage de deux anciens Verts devenus zélateurs de la politique gouvernementale au CESE rend enfin justice à sa nouvelle dénomination adoptée en 2008
Le recyclage de deux anciens Verts devenus zélateurs de la politique gouvernementale au CESE rend enfin justice à sa nouvelle dénomination adoptée en 2008
À partir du moment où un système de rémunération prévoit une part variable individuelle, tant que les résultats sont là, la tension générée par la promesse d’un « bonus » peut, dans une certaine mesure, doper les performances. Cela dit, il serait hasardeux de parler de motivation, au sens strict, par le biais de la seule rémunération variable individuelle.
Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a présenté la semaine dernière, l’étude sur Les forces vives au féminin, rapportée par Claire Guichet (groupe des organisations étudiantes et mouvements de jeunesse), au nom de la délégation aux droits des femmes et à l’égalité (DDFE), présidée par Geneviève Bel (groupe des entreprises).
Il va finir par bien porter son petit nom de « rapport fantôme ».
Le futur conseil économique, social et environnemental régional (CESER) d’Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes va se contenter d’ajouter les membres des 3 CESER en 2016. Ainsi, 266 conseillers (233 conseillers au CESE national) siègeront dans une institution dont les modalités de fonctionnement restent à définir.
Près de quinze mois après sa transmission, le rapport du cabinet Technologia commandé par le CHSCT du Conseil économique, social et environnemental sur les conditions de travail de ses 150 salariés n'existe toujours pas... Ou en tout cas, l'assemblée consultative ne le possède pas officiellement*.
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