Il y a quelques semaines, Bordeaux accueillait le GSEF 2025. Un moment fort, mondial, où l’économie sociale s’est montrée pour ce qu’elle est réellement : un mouvement structuré, résilient, déterminé, et non un supplément d’âme dans les discours institutionnels. L’énergie y était immense, les acteurs et actrices engagé·es, les initiatives puissantes. Et pourtant, un constat s’est imposé avec force : l’écart béant entre les ambitions affichées et les moyens mobilisés. 

Les inégalités de genre constituent un obstacle majeur à la pleine participation des femmes à la vie économique, sociale et démocratique. En Europe, malgré des avancées notables dans certains domaines, l'économie sociale (ES) demeure concernée par ces disparités, notamment en matière d'accès des femmes aux postes décisionnels.

Comment réduire les inégalités numériques qui touchent encore trop souvent les seniors et celles et ceux qui les accompagnent au quotidien ? Cette conférence qui se tiendra le 14 Novembre prochain au Comité économique et social européen à Bruxelles, propose d’ouvrir le débat et de partager des pistes d’action concrètes autour de l’inclusion numérique dans le secteur du grand âge.

Avec l’Alliance Otonom et Mentoring Belgium, nous choisissons d’unir nos forces avec celles et ceux qui, comme nous, placent la solidarité et l’autonomie au cœur de l’action.

Le modèle de l’économie sociale (ES), fort des valeurs qu’il porte, s’impose comme une alternative économique juste et durable en Europe. Pourtant, le développement de conditions-cadres pour l’ES reste très inégal d’un État membre à l’autre. Social Platform, la plateforme européenne des ONG du secteur social, œuvre activement pour la reconnaissance et le soutien des acteur·ice·s de l’ES au sein de l’Union européenne.

L’économie sociale aime se présenter comme un modèle de démocratie, de solidarité et de justice sociale. Mais sur un point essentiel, elle reste loin d’être exemplaire : la parité. 

Dans une Union européenne en quête de stabilité budgétaire, la limitation des allocations de chômage dans le temps s’impose peu à peu comme une condition de bonne gestion. Derrière ce choix se cache une conception violente de la solidarité, celle qui se réduit au fil des réformes pour se transformer en contrôle et puis en sanction. 

Au cœur d’une Europe en pleine mutation, un sacrifice insidieux se profile sous le masque de la compétitivité.

Dans le cadre du projet CAPSE, six personnalités particulièrement engagées en faveur de l’égalité femmes-hommes au sein de l’Économie Sociale et Solidaire (ESS) partagent leurs parcours et expériences à travers une série de témoignages vidéo.

Fin septembre, "Pour La Solidarité" réunissait des intervenant·e·s de divers horizons pour aborder une thématique centrale : la reconnaissance et la valorisation des compétences des bénévoles au sein de l’économie sociale.