L’emploi, ce sont des entrées et des sorties avec un vague parcours professionnel comme fil rouge entre les deux. Les conditions d’accès à l’emploi ont évolué avec la part croissance des contrats courts et des voies de sorties qui se sont diversifiées : invalidités, insuffisances professionnelles, ruptures conventionnelles, RCC, PDV, accords de performance collective avec un accompagnement à géométrie variable,…Et entre les portes d’entrées et sorties, il s’agit de maintenir l’emploi avec les bons niveaux de compétences et de permettre des évolutions professionnelles.
Notre organisation syndicale a tenu à dénoncer une nouvelle fois la précarisation des contractuels recrutés en contrat à durée déterminée (CDD) et le fait qu’ils sont injustement considérés comme des « variables d’ajustement » dans notre administration.
Comment lutter, véritablement, contre les inégalités scolaires, comment rendre concrète la réussite de tous les élèves et favoriser le vivre-ensemble ?
Notre fédération condamne la décision du groupe ArcelorMittal, annoncée ce 8 juillet en CSE central, d’enterrer définitivement la relance du deuxième haut-fourneau du site et d’inscrire dans la durée un fonctionnement avec un seul exemplaire de cet équipement
Quand ce ne sont pas les règles de gestion des personnels qu’on lamine, ce sont les missions qu’on tente d’éradiquer en proposant de sortir du giron de la DGFiP l’activité Secteur Public Local.
Sur ce sujet récurrent et qui revient au devant de l'actualité dans la période, la note de l'Ires "Eclairages" réalisée par Pierre Concialdi (*) et qui vient d'être publiée devrait retenir l'attention...et nourrir les réflexions...
Le 5 juillet dernier à Metz, l’Observatoire MNT a dévoilé lors du congrès AATF, les résultats de sa dernière étude : “S’engager pour l’égalité femmes-hommes, un bénéfice pour toutes et tous”, rédigée par Sarah Daunay, Jean-Thomas Eldin-Rouanet et Valérie Strock-Huttepain tous trois élèves administrateurs de l’INET.
A peine rassasiée par la validation de son plan de licenciement par l’Administration pour cause de manque d’entretien de l’outil de travail qui aurait engendré des coûts de mises aux normes – on se demande où sont passées les aides de l’Etat - , la société FDG GROUP dégaine une prime de cooptation pour aider à pourvoir ses offres d’emploi en souffrance avec un salaire de base sous le SMIC !
Les réunions paritaires nationales et les groupes de travail classification se succèdent à l’UCANSS. L’employeur, en lien avec les orientations du gouvernement, cherche à imposer un projet qui ne bénéficierait pas à tous et accentuerait l’individualisation des rémunérations.