Et maintenant, c'est la bonne ?
« Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, mais parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles » - Séneque.
« Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, mais parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles » - Séneque.
Les ordonnances du gouvernement Macron parues le 23 septembre 2017 bouleversent considérablement le concept de la représentation salariée dans l’entreprise. Dans les entreprises de plus de 50 salariés, les instances CE, CHSCT et DP disparaîtront au profit du comité social et économique (le CSE).
La fusion des IRP a déjà fait couler beaucoup d’encre et son objectif central (éliminer le CHSCT) a été souligné à de multiples reprises.
J’ai conscience du caractère provocateur du titre de cet article, dans le contexte de Miroir Social, un média original et indispensable, que je lis et auquel je contribue depuis des années.
La professionnalisation et d'importants moyens financiers et en temps sont les données entrantes de la « nouvelle équation CSE » pour amortir le choc des ordonnances.
De nombreuses mesures décrites dans la nouvelle loi travail, présentée par Muriel Pénicaud, transforment significativement les relations sociales dans l’entreprise, et affectent le domaine de la santé au travail, des conditions de travail et de la prévention des risques professionnels.
Quels sont ces changements ? Quels sont les enjeux ?
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