Les 280 salariés d’Ascoval en danger
Lors du rachat d’Ascométal l’an dernier, le repreneur avait écarté le site de Saint-Saulve (propriété d’Ascométal à 60 % et de Vallourec à 40 %), laissant les 280 salariés de l’aciérie dans une impasse.
Lors du rachat d’Ascométal l’an dernier, le repreneur avait écarté le site de Saint-Saulve (propriété d’Ascométal à 60 % et de Vallourec à 40 %), laissant les 280 salariés de l’aciérie dans une impasse.
En redressement judiciaire depuis le mois de janvier, TIM, fabricant de cabines d'engins qui emploie 470 salariés à Quaëdypre (Nord), attend la sentence du tribunal de commerce de Lille, prévue pour le 19 juillet et qui décidera de la vie ou de la mort de l’entreprise.
Le Cabinet EXCEPTIO AVOCATS propose de nouvelles formations à Paris:
Retourner une entreprise en difficulté revient à faire rentrer au port une embarcation naviguant en mer agitée. Tout geste brusque de l’équipage ou décision hâtive peut la mener à sa perte. Capitaine, gardez votre son sang-froid et ajustez vos voiles à mi-mât pour stabiliser votre chaloupe !
Début août, le conglomérat industriel Altia, qui compte 3 500 salariés, a été placé en redressement judiciaire. Comme le souligne Clarisse Josselin dans le dernier numéro de FO Hebdo, le syndicat FO dénonçait depuis plusieurs années l’opacité financière et l’absence de contrôle du groupe, dont la dette s’élèverait au moins à 100 millions d’euros.
Le transporteur routier de messagerie, qui emploie 5 200 salariés et 2 000 sous-traitants, a été placé en redressement judiciaire. Gouvernement et syndicats se mobilisent pour trouver une solution de reprise.
© 2019 Miroir Social - Réalisé par Cafffeine