La loi du 14 juin 2013 fixe l’entrée en vigueur de la base de données économiques et sociales (BDES) au 14 juin 2015 pour les entreprises de 50 à moins de 300 salariés.
BDES : s'équiper aussi pour anticiper les évolutions
Bien choisir une solution applicative pour votre base de données économiques et sociales (anciennement BDU, base de données unique) c’est la choisir durable et évolutive, c'est-à-dire capable d’anticiper d’éventuelles évolutions structurelles ou dimensionnelles de l’entreprise.
Ce qui devait être un formidable outil au service du dialogue social donne naissance pour le moment, dans la plupart des entreprises de plus de 300 salariés, à un simulacre de base de données qui ne respecte pas réellement la règlementation en vigueur et encore moins la vision des partenaires sociaux.
Entre la modernisation de l'action publique, la Cour des Comptes et maintenant le Premier Ministre, nous avons aujourd’hui la certitude que la négociation future des régimes complémentaires de retraite du privé sera sous surveillance… Avant d’être sous tutelle ?
La base de données économiques et sociales (BDES), déjà obligatoire dans les grandes entreprises, le deviendra en juin prochain pour les entreprises d’au moins 50 salariés.
Les négociations se sont échelonnées de juin à octobre 2014. Elles ont traité les questions de processus sur l'information-consultation sur la stratégie du groupe Areva dans un premier temps et dans un second temps les indicateurs et la base de données économiques et sociales du groupe.
Base de données économiques et sociales : développer en interne ou choisir une solution SAAS ?
Quelle est la meilleure option pour réaliser une base de données économiques et sociales (BDES)* ? Voilà une question que nombre de responsables de RH se sont posée ces derniers mois, particulièrement lorsque leur entreprise comptait plus de trois cent salariés. Dans cette catégorie chaque société devrait, selon la loi, s’être déjà dotée d’un dispositif BDU-BDES.
Les employeurs d’au moins 50 salariés n’ont pas le choix : ils doivent ou devront bientôt mettre en place une BDES à destination de leurs représentants du personnel. Car si cette base n’est pas mise en place, ils s’exposent à une lourde amende, voire à une peine de prison.
Comme le précédent, le prochain rapport annuel de Mazars (2013-2014) joue la carte participative. Sur un site consacré baptisé « intelligence collective 2.0 », après s’être authentifié via LinkedIn, chacun peut soumettre une question.