La part des 25-34 ans est passée de 28 % en 2000 à 8,5 % en 2012 chez IBM en Île-de-France. Sur ce périmètre, les effectifs ont baissé de 25 % depuis l’an 2000. En 2012, IBM a recruté 137 personnes en Île-de-France en enregistrant dans le même temps 707 départs (104 licenciements, 167 démissions, 27 ruptures conventionnelles, 240 fins d’apprentissage, stage et CDD, 119 retraites/préretraites).
C’est comme une force de proposition que tient à afficher la CGT du groupe Thales après avoir signé un nouvel accord intitulé « accord visant à favoriser le développement professionnel et l’emploi par des démarches d’anticipation ». Le fruit d’une négociation menée de concert avec la CFDT et la CFE-CGC.
La CFE-CGC reste critique sur le bien-fondé des suppressions de postes annoncées par Hewlett-Packard (HP), liées à un nouveau plan de diminution des effectifs d’environ 10 % dans le monde. En France, il s’agirait de 520 départs volontaires de salariés d’ici fin 2014. Toutefois, la déclinaison française de ce plan devrait se faire essentiellement sous forme de pré-retraites.
Lors du conseil d’administration Fongecfa du 6 juin 2012, le commissaire aux comptes de l’institution a alerté l’ensemble des administrateurs et les représentants de l’État sur le fait que celui-ci ne pouvait en aucun cas certifier les comptes 2011 des institutions Fongecfa (TRM, TDF, déménagement) et Agecfa (TRV).
Avec l’arrivée du nouveau directeur général Bruno Deletre cet été au Crédit Foncier, la mise en place d’un plan à moyen terme 2012-2016 a rapidement été annoncée.
S’il apparaît logique qu’un dirigeant a besoin de faire des « plans » régulièrement (précédemment, il y a eu le plan stratégique 2008-2012), le dernier en date ne semble pas aussi habituel.
Au-delà des apparences, la « cessation d’un commun accord du contrat de travail » introduite dans les CCI par l’accord cadre du 9 février, signé par la CFDT et l’Unsa, n’a rien d’une rupture conventionnelle classique, au sens Code du Travail.
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