L'accord établit une nouvelle base de droits minimale pour les salariés du groupe Société Générale en matière de protection sociale (congé maternité, congé paternité, indemnité décès), de télétravail et de syndicalisme.
Alors que les ruptures de période d'essai à l'initiative des salariés et les démissions ne cessent d'augmenter, les élus du CSEC ont rendu en juillet à l'unanimité un avis négatif sur la politique sociale, les conditions de travail et l'emploi présentée par la direction. Pas de quoi pour autant redresser le taux de participation aux élections.
Il y a du pouvoir d'achat à récupérer sur les erreurs et pratiques abusives susceptibles d'agrémenter les bulletins de salaire. Deux exemples récents avec Caterpillar qui n'avait pas réévalué depuis 2016 la prime d'intégration tandis que la direction de la Société Générale a consenti une prime compensatoire reconnaissant la dérive des heures supplémentaires écrêtées (...)
Fusion Société Générale-Crédit du nord : destruction de 600 agences et 3 700 emplois, comme prévu
Annoncée il y a un an, la fusion des deux établissements pour créer une nouvelle banque se concrétise par la fermeture de 600 agences et la suppression de 3 700 emplois à l'horizon 2025, comme prévu. Rien dans les pseudo-négociations engagées avec les organisations syndicales représentatives du groupe n’a fait évoluer quoi que ce soit (...)
Le complexe dossier d'absorption du Crédit du Nord par la Société Générale va nécessiter de revoir la cartographie des futurs périmètres des instances. Deux modèles s’opposent, avec la décentralisation côté Société Générale versus la régionalisation côté Crédit du Nord. Cette deuxième option pourrait l’emporter en bout de course. Les enjeux politiques de ce vaste redécoupage mettent en surchauffe les négociateurs (...)
Avec la fusion entre la Société Générale et le Crédit du Nord, 600 agences vont fermer
Ce ne sont là que les premières retombées de cette opération car les conséquences sur les emplois promettent d'être considérables et concernent les salariés de plusieurs filiales du groupe (...)
À la Société Générale ou chez LCL, des accords sur la prise des jours de repos ont été négociés mais pas chez BNP Paribas qui, avant la crise sanitaire, avait engagé un projet de remise à plat des horaires de travail avec des RTT en plus pour certains, en moins pour d’autres (…)
Triste réalité : les banques françaises taillent dans leurs effectifs, tout en faisant régner un climat délétère auprès de leurs collaborateurs. BNP Paribas, Société Générale, Arkéa, LCL… De plus en plus d’établissements piétinent les droits des travailleurs.