Alors que s’ouvrent le 9 octobre les discussions à l’Assemblée nationale concernant le projet de loi de finances pour 2024, les acteurs de l’ESS formulent des propositions afin d’enrichir le texte en faveur de l’Économie Sociale et Solidaire.

Lors du conseil de la Caisse nationale de l’Assurance maladie (CNAM), la Mutualité Française s’est prononcée contre le projet de loi de financement de la sécurité sociale 2024 présenté par le gouvernement. Même si certaines mesures sont à saluer, les moyens alloués sont insuffisants pour répondre aux défis que notre système de santé doit relever, notamment en termes de financement.

Lors de notre précédente AG, nous avions pris l'engagement de renouveler la communication de notre association et de la renforcer. Plusieurs projets ont donc été lancés et deux nouvelles publications d'importance ont été réalisées.

Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) est partenaire des États généraux de l'information. Vous pouvez vous exprimer jusqu'au 12 novembre : 6 débats citoyens sont accessibles.

Dans les administrations comme dans les entreprises, la crise sanitaire a donné lieu à un flot inédit de réflexions sur les modalités d’organisation du travail.

Depuis des mois la Fédération Nationale des Transports et de la Logistique FO/UNCP ne cesse d’alerter le gouvernement sur les dangers de la disparition de nombreux restaurants routiers. Des maires de villes/villages font la chasse aux routiers. Pas de parking PL, pas de client.

Le CAE (Conseil d’analyse économique) a publié cet été une étude sur les effets des dispositifs de partage de la valeur ajoutée utilisés par les entreprises

Invité, fin Août, sur le 13/14 de France Inter, Pascal Demurger, le directeur général de la Maif a déclaré : "les  choses sont extrêmement claires. On a fixé une limite à la rémunération au plus haut salaire de l'entreprise qui ne doit pas dépasser, il y a 2 limites même, 20 fois le plus bas salaire de l'entreprise ou 15 fois le salaire moyen de l'entreprise."

Le désengagement financier des collectivités territoriales et de l’Etat dans les politiques sociales est désormais dramatiquement visible par la mise en grande difficulté de nombre d’entreprises sociales, œuvrant de la petite enfance au secteur du grand âge.