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11 / 02 / 2011
Laurent Capella / Membre
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L'harmonisation des statuts sociaux de ST-Ericsson confronté à une des "usines à gaz" typique des accords tels que négociés dans les grands groupes francais

 

// CET ARTICLE N'EST QU'UN DRAFT !!!! //

// NE PAS PUBLIER !!!! //

Rappel du "pitch" : le dynamisme des entreprises et des salariés français, qui est le garant de l'emploi sur le long terme, passe par une modification profonde des pratiques sociales en France. Il faut pour cela simplifier le droit du travail et surtout imposer plus de pragmatisme et de professionnalisme dans la rédaction des accords d'entreprise qui trop souvent se transforment en "usine à gaz" mêlant des sujets sans rapports. La responsabilité en incombe aussi bien aux Directions et aux Ressources Humaines qu'aux syndicalistes qui négocient et signent ces accords. L'exemple de STMicroelectronics et ST-Ericsson est caractéristique des problèmes qui se produisent si l'on n'y prend pas garde.

Après avoir posé le problème cadre qui est la difficulté de gestion du droit travail français et du dialogue social en découlant (voir l'article "Simplifier le droit du travail pour redonner du dynamisme à nos entreprises et à leurs salariés"), puis celui posée par la complexité et le trop grand nombre de thématiques des accords d'entreprise (voir l'article "Appel à la clarté et au pragmatisme dans la conception des accords d'entreprise"), la troisième et dernière partie de ce mini-dossier explicite le problème tel qu'il se pose actuellement dans le groupe STMicroelectronics/ST-Ericsson.

L'exemple de STMicroelectronics et ST-Ericsson

// Le cas de ST-Ericsson est typique... BLA BLA

// Historique et complexité des accord STmicroelectronics... BLA BLA BLA

// Problème de l'AORTT chez ST-Ericsson... et lien avec ST

// Appel à la Direction et aux syndicats représentatifs

 

En France, les Ressources Humaines passent plus de temps à gérer le dialogue social, voire à s'occuper des états d'âmes de certains syndicalistes, plutôt que de s'occuper réellement des salariés.
C'est aberrant et, comme souvent en France, cela ne profite pas aux salariés !



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