« Il y a eu un glissement sémantique sur la généralisation de la complémentaire santé »
- Protection sociale parrainé par MNH
Comme le souligne la revue Afim de la Mutualité Française la semaine denière, l’accord national interprofessionnel (ANI) qui devait marquer une étape importante pour améliorer l'accès aux soins, continue de susciter de vifs débats et de sérieuses interrogations.
Coeptis, école nationale de management des acteurs de l’économie sociale, le CJDES et le CEGES lancent la 3ème édition du programme « Rousseau », programme de hautes études en économie sociale.
La Fédération nationale de la mutualité interprofessionelle (FNMI) a décidé, le 11 juin, lors de sa dernière assemblée générale, de se transformer en association.
Objectif de cette évolution effective en septembre : créer un lieu de « concertation et de représentation » dans l’esprit des « think-tanks ».
Le sort des agents des collectivités est en fait à peine évoqué dans le cadre de la réforme territoriale.
« Avec son projet de contrat responsable de complémentaire santé, le gouvernement fait un choix politique sous l'influence de la Mutualité Française et de la FFSA (Fédération française des sociétés d'assurance) qui favorise la part assurantielle privatisée des remboursements et non la part solidaire mutualisée qu'est l'assurance-maladie.
C'est une question que se posent bien des acteurs concernés et sur laquelle revient le dernier numéro de la revue AFIM de la Mutualité Française.
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