Les deux co-auteurs sont des juristes incontestables.

Cela en fait-il pour autant les inspirateurs de droit d'une réforme du Code du travail ?

Devons-nous adopter une attitude ouverte en estimant qu'ils apportent leur active contribution sur un sujet « sensible » ou devons-nous être dans une posture pré-répulsive du type « comment une personne peut écrire sur les pauvres alors qu'elle n'a jamais connu la pauvreté » (absence de vécu personnel) ?

L'interrogation de base qui devrait être posée est de savoir ce que veut le « peuple », la nation ? Une justice simple et efficace ?

Est-ce alors le droit du travail qu'il faut réformer ou plutôt son « organisation » (avocats, greffiers, huissiers, experts-comptables, mandataires, conseillers...) qui (trop) souvent complique et instrumentalise ce qui aurait pu être traité simplement.

Ceci étant, la vision proposée suscite le débat et doit donc à ce titre être lue (cf lien dans la pièce jointe), comprise (ingurgitée) et comparée à d'autres, comme celle de Terra Nova (cf précédent article déposé sur le site de Miroir Social).