Le projet de loi « El Khomri » sur la réforme du code du travail, qui a été présenté par le gouvernement Hollande/Valls cet été et finalement adopté à l’issue d’une double procédure de l’article 49-3 de la Constitution, a été, contre toute attente, l’occasion de la naissance spontanée d’un mouvement réactionnaire de gauche sans précédent.
C’est une grande victoire syndicale et une grande victoire pour Force Ouvrière. La précarité va enfin reculer dans la branche de la radiodiffusion (radios publiques, privées et associatives).
Si, depuis déjà longtemps, il était permis de se poser des questions sur le devenir des missions de la DGFiP, nous sommes désormais totalement assurés que le pire reste à venir.
Plus de 40 % de la main d’œuvre mondiale est employée dans l’économie dite informelle, c’est-à-dire en dehors de toute réglementation, sans droits, ni protection sociale.
Le 9 août, la cour d’appel de Toulouse a jugé « sans cause réelle ni sérieuse » le licenciement de 191 anciens salariés de l’usine Molex, en 2009 de l’usine de connectique automobile, basée à Villemur-sur-Tarn (Haute-Garonne).
À peine nommée à la Bibliothèque nationale de France (BNF), sa nouvelle directrice, Laurence Engel, avait dû essuyer un mouvement social d'ampleur à l'appel des syndicats CGT, SUD et FSU.
Suite à une première enquête menée en 2006 auprès des Français sur leurs pratiques de lecture des titres publiés par la presse sociale, le Syndicat de la presse sociale (SPS) a souhaité l'actualiser.
« Les professions libérales n’ont longtemps concerné que des professions prestigieuses : médecins, avocats, architectes... On les faisait peu cotiser parce qu’on supposait que ces professionnels le faisaient par ailleurs. On considère toujours qu’au-delà d’un certain revenu, on est suffisamment alerté et qu’on a les moyens d’assurer sa propre protection (maladie, retraites…).
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