Christophe Clergé dénonce des négociations d'accords de branche pendant la crise du covid-19 complètement déconnectées de la réalité du terrain et des besoins de la filière plastique-composite (...)
L’accord du 28 mai sur les salaires 2020 fixe le salaire minimum à attribuer au coefficient 700 à 1.539 euros. Or, le SMIC est fixé à 1.539,42 € depuis le 1er janvier 2020 (...)
Le président de la fédération de la plasturgie appelle les adhérents à maintenir leur activité alors que l’entreprise qu’il dirige ferme ses usines
Un message paradoxal, de pure forme, alors que la moitié des entreprises du secteur sont à l’arrêt (...)
Branche de la plasturgie : des rencontres occultes mises au grand jour
Des rencontres présentées comme bilatérales avaient lieu depuis un certain temps entre la Fédération de la plasturgie et deux organisations syndicales (...)
Plasturgie : Plastalliance dit non à la recommandation patronale obligatoire
Plastalliance accepte de laisser la liberté aux entreprises et aux IRP locales de choisir leur avenir économique et social. En effet, suite à l’échec des négociations pour un accord salaires dans la plasturgie pour l’année 2019, les entreprises de la branche ont un instant cru pouvoir éviter de se faire imposer une année de plus des augmentations de salaires décidées par des organisations natio
Face au monopole, la Justice choisit le pluralisme patronal dans la plasturgie
Par requête en date du 19 février 2018, la fédération de la plasturgie et des composites avait saisi la Cour d’Appel Administrative de Paris pour demander l’annulation de l’arrêté du 29 novembre 2017 qui avait notamment acté la reconnaissance de la représentativité de Plastalliance dans la branche de la plasturgie.
Un régime déficitaire de prévoyance protégeant moins de 20 % des salariés d’une branche doit-il être redressé grâce à la renégociation de l’accord de branche ?Rodolphe Helderlémar 29/01/2019 - 14:30
En 2015, la fédération de la plasturgie et des composites signait un accord de labellisation avec Mutex, Apicil Prévoyance et l’OCIRP pour couvrir les salariés non cadres en prévoyance. Un régime aujourd’hui gravement déficitaire qui couvre seulement 20 000 des 125 000 salariés de la branche. Pour le redresser, les assureurs considèrent que la solution passe par une augmentation du taux de cotisation qui serait imposé par un avenant à l’accord de branche de 2014. Plastalliance, la seconde organisation patronale de la branche, qui a mis en place un partenariat avec Axa, n’en voit pas la justification alors que son régime, lui, serait à l’équilibre.