Dans un communiqué, les élu.e.s du CSE de Centre Inffo considèrent que les salariés n’ont pas à payer le prix de l’abandon de l’État, aboutissement d’un pilotage à la dérive

Notre fédération  rappelle au ministre qu’il est temps de passer des déclarations d’intention aux actes concrets car les paroles n’ont jamais pris soin de ceux qui soignent.

Notre organisation syndicale dénonce l’insincérité, la déloyauté et le manque de sérieux des dirigeants d’Auchan dans la mise en œuvre du plan social et exige des mesures immédiates pour protéger les salariés menacés.

Nouveauté en fin de Congrès à Agen : un manifeste a été soumis au vote des congressistes le 20 juin 2025. Pour la Mutualité Française, ce nouvel « outil d’influence » contribuera à porter les propositions du Mouvement dans le débat public et garantir l’avenir de la protection sociale.

Négociation du protocole préélectoral : Autour de la table, en sus des représentantes de la Direction, étaient réunis des membres actuels du CSE accompagnés de représentants des organisations CFDT, CFE-CGC, CFTC et SUD/SOLIDAIRES. Seules la CGT et FO se sont présentées sans être accompagnées d’un.e élu.e.

Notre organisation syndicale  condamne fermement l’annonce unilatérale faite ce jour par la Direction Générale de Société Générale visant à réduire drastiquement le télétravail à un jour par semaine maximum pour l’ensemble des salariés du Groupe.

Les caisses nationales, à force de centraliser, finissent par étouffer l’autonomie et l’inventivité des directions locales.

Centre Inffo, opérateur de l’Etat dont la mission publique est d’informer sur les dispositifs de formation professionnelle, va disparaître au plus tard début 2026.

Le dimanche 27 avril dernier, la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin, a annoncé qu’un tiers des agences et opérateurs de de l’État disparaîtraient d’ici à la fin de l’année ! Elle a réitéré depuis ce qui ressemble désormais à une orientation du Budget 2026 qui s’annonce historiquement saignant.

Le départ de Luca de Meo de la direction générale de Renault ouvre une nouvelle voie pour le groupe. À l’heure où l’automobile européenne est en crise, ce changement doit marquer un tournant stratégique au service de l’industrie, de l’emploi et de la souveraineté économique.