Amis et camarades,
Comme vous, nous constatons que le programme d'Emmanuel Macron n’épargne personne, des étudiants aux retraités, des jeunes bénéficiant de contrats aidés aux assurés sociaux, des chômeurs aux locataires, des salariés à toute la population. Ce ne sont pas des « réformes » mais une contre-révolution libérale.
Le 11 août dernier était organisée la première grève d’ampleur chez Deliveroo. Parti de Bordeaux fin juillet, le mouvement de contestation s’est rapidement étendu à Lyon puis à Paris et suscite un large intérêt médiatique.
« La CFDT devance la CGT et devient le premier syndicat de France au niveau national ». La formule a été reprise en cœur par tous les commentateurs qui attendaient visiblement cette nouvelle depuis toujours. Même le 20 heures de France2 y a consacré de longues minutes alors qu’habituellement ce journal télévisé parle rarement de l’actualité sociale et syndicale.
La négociation sur les minima garantis du machinisme agricole s’est tenue le 21 février 2017.
Tenant compte du contexte économique et des prévisions de l’inflation, notre fédération a revendiqué une augmentation de 1,5 % sur l’ensemble de la grille.
Le 2 février, au deuxième jour du congrés de l'union syndicale CGT de Paris, un bon tiers des 270 militants inscrits a joué la stratégie de la chaise vide. Le syndicat du nettoyage venait d'être mis en minorité par bulletins secrets (et non à mains levées) sur sa proposition phare. Ce congrés sous tension a voté un audit RPS dans les syndicats CGT de la bourse du travail.
Dans une décision en date du 12 décembre 2016, à la forte publicité (PBI), la Cour de cassation pose la condition que doit nécessairement remplir un syndicat pour se présenter à des élections professionnelles, à savoir le respect des valeurs républicaines (Cass. soc., 12 décembre 2016, n° 16-25793).
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