Le référendum de General Motors attise la tension sociale
Les syndicats de General Motors, à l'exception de la CGT, ont accepté de signer le vendredi 23 juillet l'accord qui valide une réduction des coûts de 10 %. Mais la paix sociale exigée par la direction américaine comme une condition préalable à la poursuite de l'activité n'est pas vraiment à l'ordre du jour... Le référendum interne, organisé par les syndicats le 19 juillet, pour demander aux salariés de se prononcer pour ou contre le plan de rigueur, a été source de débordements à l'encontre de la CGT.