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22 / 03 / 2011 | 12 vues
Emmanuelle Heidsieck / Membre
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Comme un manque de détermination syndicale dans la négociation sur les retraites complémentaires

Si l'on regarde attentivement l'accord sur les retraites complémentaires AGIRC-ARRCO du 18 mars, les salariés sont bien les perdants de l'affaire : le montant de leur future retraite n'est pas sécurisé. C'est sur cette base que l'accord a pu être conclu avec au moins un syndicat, la CFDT, tandis que la CFTC, la CFE-CGC et la CGT ont refusé de signer et que FO réservait encore sa réponse le 21 mars.

On peut donc s'étonner du résultat de cette négociation lorsqu'on se rappelle avec quelle force et quelle unité les cinq centrales syndicales représentatives ont défendu les retraites du régime de base durant presque huit mois, de début avril jusqu'au 9 novembre 2010, date de la réforme des retraites du gouvernement Fillon. Surtout lorsque l'on sait que ces retraites complémentaires représentent une part très importante des pensions : 40 % de la pension des non-cadres (ARRCO) et 60 % de la pension des cadres (ARRCO+AGIRC).

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 Après le fiasco des retraites  orchestrée par l'intersyndicale vient s'ajouter celle des retraites complémentaires cette fois c'est la CFDT qui porte la responsabilité. L'infos passe inaperçue ,car les médias attirent l'attention sur l'actualité internationale.

Le quotidien des salariés est mis à l'écart , pouquoi alors autant de manisfestations qui ont été unitiles ces derniers mois.

Le salariés français a été trahis comme en 68 lors des accords de Grenelles.

Mais nous ne sommes pas malheureux, la majorité d'entre eux mange à sa faim (3 fois par jours).

Alors comme pour les syndicats et les partis politique la misère c'est pour demain !