À travers deux exemples concrets, nous proposons de démontrer l’intérêt d’un concept issu des sciences humaines et sociales pour prendre en compte la dimension subjective de la conduite du changement.
Passées les premières années de sidération dans laquelle l’humanité s’est trouvée suite à la libération des camps et la découverte de l’horreur du génocide nazi, une volonté impérieuse, tant légitime que salutaire, d’expliquer (si ce n’est de comprendre) les ressorts psychologiques ayant conduit des hommes à commettre un crime de cette envergure inédite, s’est fait jour au sein de la communauté de
Panorama, non exhaustif, des disciplines universitaires qui se penchent actuellement sur le travail, et plus particulièrement sur la santé et les conditions de travail.