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    28 / 09 / 2022

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    Harcèlement moral : quand un employeur licencie sans présenter des éléments matériellement vérifiables 

    La direction de l’éditeur Val Solutions a sommé cinq salariées de s'expliquer sur la teneur des échanges tenus à l’encontre d’une responsable de service dans un groupe WhatsApp de six membres, sans être en mesure de présenter des preuves. Une salariée du groupe a été licenciée pour faute et quatre autres ont été sanctionnées disciplinairement. L'encadrante a alerté la direction d’un harcèlement sur la base d’informations ayant vraisemblablement fuité à l'insu de la seule membre du groupe qui n’était plus salariée. La veille de l’alerte, une autre membre du groupe WhatsApp avait saisi la direction d’une situation de harcèlement visant cette fois l'encadrante. Des alertes pour harcèlement qui se croisent donc sur fond d’interactions entre vie privée et vie professionnelle, sources de "tensions peu (ou mal) traitées mais bien connues de la direction" comme le souligne le  rapport de Syndex, missionné par le CSE dans le cadre d'une expertise pour danger grave. (..)
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    26 / 09 / 2022 | 932 vues

    Val Solutions condamnée à verser des dommages et intérêts à une salariée licenciée pour une conversation privée

    En avril 2022, le Conseil des Prud’hommes de Narbonne a condamné Val Solutions à verser 9 284 € à titre de dommage et intérêt pour licenciement sans cause réelle et sérieuse à une salariée. Cette dernière avait été licenciée en 2020 pour des propos qui auraient été tenus dans une conversation privée sur le réseau WhatsApp (...)