CAMIEG : la COG prise en otage
- Protection sociale parrainé par MNH
La complémentaire santé, la prévoyance des risques lourds (invalidités, décès), les coups de pouce à la retraite sont autant d’ingrédients de ce thème qui se conjugue dans les entreprises avec les leviers de la rémunération globale. La protection sociale complémentaire s’articule aussi avec les mécanismes de l’assurance maladie et de l’assurance vieillesse sur fond d’exonérations de cotisations sociales.
Le débat ouvert par Martin Hirsch et Didier Tabuteau sur une « sécurité sociale universelle », comme les prises de positions de la France Insoumise (qui rajoute « intégrale ») et d’autres forces politiques provoquent une grande confusion sur la question fondamentale de la santé et reposent sur un amalgame entre acteurs complémentaires lucratifs et non-lucratifs.
Les discussions avec les organisations syndicales vont bon train dans les ministères.
« Le droit à l’employabilité, l’équilibre entre la vie privée et la vie professionnelle sont des périmètres d’action des fonds sociaux de branche car les droits des salariés sont de moins en moins attachés à un contrat de travail en particulier », a déclaré l’avocat Jacques Barthelemy à l’occasion d’une rencontre organisée le 16 février par
Au menu d’un tour de piste des régimes ARRCO (tous les salariés) et AGIRC (cadres) le 16 mars, la présentation par les gestionnaires des comptes de 2016 et de l’unification des régimes, prévue au 1er janvier 2019.
Le licenciement d’un directeur de production et logistique des laboratoires Clarins avait été reconnu comme sans cause réelle et sérieuse par la Cour d’appel de Versailles en 2015. La Cour de cassation a rejeté le pourvoi de l’employeur le 1er mars.
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