Un total de 88 % des directions souhaite réduire le budget global des augmentations générales mais seulement 33 % pensent à baisser l'enveloppe des rémunérations variables.
Richard Descoings, le directeur de Sciences Po, entend ne pas faire l'impasse sur l'actualité du dialogue social au sein de l'établissement. Le 23 novembre, il publiait donc un billet sur la signature d'un accord seniors qui engage l'établissement à maintenir un taux d'emploi des plus de 55 ans à hauteur de 15 % des effectifs. Le tout en introduisant un « congé mensuel senior »...
La CFDT souligne que c'est le provisionnement du coût des préretraites maisons dont le groupe a bien profité qui explique pourquoi IBM ne verse plus de participation aux bénéfices. Une façon de "faire payer aux salariés les départs." N'y a t-il pas aussi un peu d'optimisation fiscale pour expliquer cette absence de participation ?
Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) prévoit pour 2010 de doubler le forfait social (actuellement de 2 %), qui s'applique sur l’épargne salariale et la retraite d’entreprise.
Au titre de l'année 2008, les salariés d'Otis ont perçu entre 2,5 et 3 mois de salaire en participation aux bénéfices et intéressement. Voilà qui n'empêche pas l'annonce d'un PSE qui concerne 140 postes. Une décision d'UTC, la maison mère américaine d'Otis qui se trouve en pleine restructuration.
Entreprise et progrès : pour une approche globale et décomplexée des rémunérations
En partenariat avec le cabinet FTP&A, l'association Entreprise et Progrès publie un rapport intitulé "Rémunération des dirigeants : rupture du lien social".
Les salariés d'HSBC vont finalement bénéficier d'une participation "symbolique" et d'un reliquat d'intéressement. Environ une centaine d'euros plus "les intérêts de retard", affirme la CFDT. Le contrôle de gestion et les commissaires au compte d'HSBC ont fait une erreur dans le calcul de la participation et de l'intéressement.
Voici la réponse de la CFE-CGC à la demande d’avis du président de la république sur le partage de la valeur ajoutée, dans laquelle Bernard Van Craeynest, président de la CFE-CGC, demande notamment :