Dans la même entreprise, qu'est ce qui fait que des syndicats vont s'engager dans la négociation d'un APC tandis que d'autres s'y opposeront par tous les moyens ?


Voilà des accords où chacun assume ses responsabilités. S'il y a signature, c'est aux salariés à qui l'on demande de dire oui ou non aux concessions avec un licenciement pour ceux qui s'y refusent. En cas de non signature, c'est le risque d'un PSE durci qui peut être avancé par la direction. La palette des concessions et des contreparties est large. Résultat : il y a autant d'APC, qu'il y a de contextes d'entreprise.


Le visio-débat que Miroir Social vous propose en partenariat avec Sextant Expertise (cabinet conseil des CSE et des organisations syndicale), à l'initiative de la première analyse d'un panel d'APC, va illustrer cette diversité au travers des interventions de la CGT de la FNAC Paris signataire d'un APC, avant la crise sanitaire, pour éviter la dénonciation de la convention d'entreprise tandis que celle de l'UNSA permettra de préciser une opposition déterminée à un APC signé par le syndicat majoritaire chez Derichebourg Aeronautics Services. Un panorama qui intègre celui de Plastalliance, organisation patronale de la plasturgie dont plus de 50 entreprises adhérentes ont déjà signé des APC avec un retour d'expérience globale sous la forme d'un guide.
 

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Avec les interventions de :
 

• Christian Pellet, président de Sextant Expertise
• Chloé Daviot, consultante chez Sextant Expertise
• Boris Lacharme, délégué syndical CGT FNAC
• Philippe Faucard, délégué syndical UNSA Derichebourg Aeronautics Services
• Joseph Tayefeh, secrétaire général de Plastalliance Animation par Rodolphe Helderlé, responsable éditorial de Miroir Social