Le rapport d'activité très participatif de Pôle Emploi
- L’approche très ciblée
- L’approche très ciblée
Thierry Solère, Député UMP des Hauts-de-Seine, a saisi Jean-Marc Ayrault sur le « climat anxiogène » qui subissent les 1 500 agents de la ville de Clichy-la-Garenne. Une question écrite posée au Premier Ministre après l’immolation devant son lieu de travail d’une employée municipale, le 19 août.
Mesurer, quantifier, évaluer… Des mots qui nous viennent naturellement à l’esprit dès que l’on cherche à construire une image générique, rigoureuse et réaliste des conditions de travail de l’ensemble des salariés d’une entreprise. Combien de salariés stressés ? Existe-t-il des métiers plus touchés que d’autres ? Quels sont les facteurs qui peuvent expliquer ces niveaux de stress élevés ?
Aujourd’hui, dans les revues scientifiques et sur la toile, fleurissent de nombreux questionnaires d’évaluation de la qualité de vie au travail (QVT). Ces outils, « très à la mode », proposent de mesurer les perceptions que les salariés ont de concepts variés comme la satisfaction, la conciliation vie privée/vie professionnelle, l’efficacité, les performances, la sécurité, la rémunération...
13,8 % des salariés de la Société Générale se trouvent en hyper-stress. Les femmes et les salariés ayant plus de 2 heures de transport par jour sont des catégories dont le niveau d’hyper-stress atteint les 19 %. « Ce taux tend à s’accroître avec l’âge et notamment pour la tranche de 51 à 55 ans », souligne le SNB CFE-CGC.
Sur les 1 169 salariés du département des opérations de la banque d’investissement de la Société Générale, 769 ont répondu au questionnaire sur les conditions de travail administré par le cabinet Secafi : 23 % déclarent des crises de larmes ou de nerfs, 50 % des troubles du sommeil ou 50 % des douleurs psychosomatiques liés au travail, tandis que 70 % dépassent leur horaire de travail ou emport
© 2019 Miroir Social - Réalisé par Cafffeine