Une entreprise doit atteindre un taux d’emploi de personnes handicapées de 6 % (en prenant en compte les emplois directs et les emplois indirects au travers notamment de la sous-traitance) pour ne pas se retrouver redevable d’une contribution financière à l’AGEFIPH. Cet indicateur, que les directions pour la plupart se plaisent plutôt à cacher, a ses vertus mais aussi ses biais. Interview de Jean-Luc Odeyer, fondateur du cabinet JLO Conseil, spécialisé dans l’accompagnement des directions dans leur politique liée au handicap et plus globalement sur la diversité et la santé au travail.