Suite à la signature de l'accord GPEC du 6 mai 2101, la direction de SFR a signé un accord sur les emplois menacés avec la CFDT et la CFE-CGC, le 10 novembre dernier.

Les deux autres syndicats représentatifs de l'entreprise, la CGT et l'Unsa qui n'avaient pas signé la GPEC, n'ont bien entendu pas signé l'accord sur les emplois menacés.

Cet accord liste les emplois classés « en évolution », c'est-à-dire dont le contenu évolue significativement, mais aussi les emplois « supprimés », dont le volume diminue tout ou en partie.

Pour la CGT, trop souvent les catégories d’emplois supprimés, le sont à 100 %. Dans ces conditions, l’enjeu pour l’entreprise (et surtout pour les salariés concernés) sera les moyens qui seront mis en œuvre pour l’accompagnement interne. La GPEC ne doit pas se limiter à donner un chèque pour faire baisser les effectifs.