Malgré un message de la direction assurant qu'ils seraient payés à partir du 16 août tout en restant chez eux, les salariés de Fralib (groupe Unilever) n'ont pas goûté la proposition. Arrivés sur le site de Gemenos (proche de Marseille), personne n'était présent pour faire tourner la chaîne, a raconté un ouvrier à Europe 1.