Comment les « afterworks » mettent la pression aux salariés, sous couvert de volontariatrobin carcanmar 09/05/2017 - 12:32
Les réunions de travail de fin de journée, même informelles, se sont développées insidieusement dans le secteur high-tech. Promues par les managers, ces rencontres au statut souvent imprécis et drapées dans la convivialité, continuent d’inquiéter les syndicats. Petit aperçu des pratiques chez Accenture, Altran et SopraSteria.
Cinq leviers d’action pour parvenir à l’égalité professionnelle
La question de l’égalité professionnelle fait désormais partie des préoccupations des entreprises mais bien du chemin reste à parcourir pour établir un réel équilibre hommes/femmes. Petite revue de détail en cinq étapes.
Les garde-fous du « digital working » chez BNP Paribas
Facebook, twitter, forums, blogs et messageries électroniques sont désormais accessibles à toute heure de la journée pour les salariés de BNP Paribas. Le SNB CFE-CGC demande à ce qu’un module de formation sur les risques liés au numérique soit intégré aux réunions sur la sécurité et la conformité.
Travail en « horaires atypiques » et vie de famille : toutes les questions que vous vous posez
Depuis une vingtaine d’années, les emplois du temps décalés sont en forte croissance. Une récente enquête de la DARES du Ministère du Travail, révèle que seulement 37 % des salariés français bénéficient d'horaires dits « normaux ». Les salariés en horaires atypiques sont donc désormais majoritaires.
De nouvelles organisations du travail conciliant égalité hommes/femmes
Les aménagements horaires sont déterminants pour l’articulation de la vie professionnelle et de la vie privée. Aujourd’hui, ils se résument souvent au temps partiel, qui peut peser sur les trajectoires professionnelles de leurs bénéficiaires et perpétuer l’inégale répartition des tâches entre hommes et femmes.
Un CE qui assure l'ingénierie sociale de projets solidaires financés par la direction
Le fonctionnement du CE d'Ineris (institut national pour les risques et l’environnement industriel) est innovant. On y trouve depuis 2007 un groupe « maison de la crèche et des services » auquel participent 11 salariés, non élus, qui bénéficient d'un crédit de 1 à 3 jours par an pour travailler sur des projets de services solidaires.
« Un CE a un rôle à jouer dans le développement durable local »Rodolphe Helderléjeu 30/06/2011 - 13:00
Entre la crèche et la conciergerie d’entreprise (sans oublier les CESU « insertion »), le CE d’Ineris a contribué à la création d’une dizaine d’emplois sur le plateau de Creil (Picardie). Une démarche concrète de développement durable et solidaire à l’égard des 520 salariés de cet EPIC. Retour sur une ingénierie sociale originale avec l’interview de Marc Kazmierczak, élu syndiqué à la CFE-CGC, et initiateur en 2007 d’un groupe « maison de la crèche et des services » au sein de ce CE auquel participent 11 salariés, non élus.